PRÉOCCUPATIONS SUR LA COVID-19, LA GOUVERNANCE DE L'ÉGLISE ET LA LIBERTÉ DE CONSCIENCE

Actualité Adventiste 2 février 2022

Un communiqué d’information du département des Communications de la direction mondiale de l’Église adventiste du septième jour

 

La question de savoir si un individu doit ou non prendre le vaccin contre la Covid-19 a suscité une grande controverse au sein de l’Église adventiste du septième jour. À la lumière de la prière du Christ pour que « tous soient un », cette situation est tragique. Des églises ont été divisées, des membres d’une même famille aliénés et des amitiés rompues. La mission de l’Église a été entravée et son rayonnement évangélique dans le monde a été négativement affecté. Parfois, des déclarations inexactes ont favorisé et aggravé ces divisions.

Récemment, certains ont contesté le droit du comité administratif de la Conférence générale (ADCOM) de parler au nom de l’Église. Ces déclarations critiques ont le potentiel de saper l’autorité de l’Église, de créer de la confusion et de conduire à la fragmentation. En réponse aux questions d’adventistes sincères du monde entier, les dirigeants de la Conférence générale apportent ici des réponses à certaines des questions récemment soulevées.

 

  1. Quelle est la position de l’Église adventiste du septième jour sur le vaccin contre la Covid-19 en ce qui concerne la conscience individuelle ?

La déclaration de réaffirmation de l’Église, Réaffirmer la réponse de l’Église adventiste du septième jour face au Covid-19, est claire sur le droit de chacun à prendre des décisions basées sur ses convictions de conscience guidées par le Saint-Esprit. La déclaration dit : « L’Église adventiste du septième jour respecte la liberté de choix de chaque individu de prendre des décisions responsables concernant sa propre santé. Puisque nos corps sont le temple du Saint-Esprit et que nous appartenons au Christ, tant par création que par rédemption, nous devrions personnellement rechercher la volonté de Dieu au sujet des vaccins contre la Covid-19. La décision de se faire vacciner ou non n’est pas une question de salut, et n’est pas non plus liée, comme certains pourraient le suggérer, à la marque de la bête. C’est une question de choix personnel. Nous croyons fermement qu’en matière de conviction personnelle, nous devons être guidés par la Parole de Dieu, notre conscience et un jugement éclairé. En pesant les différentes options, nous devrions également tenir compte du fait que les avantages de la vaccination vont au-delà de l’individu, et contribuent à protéger la communauté locale et mondiale dans son ensemble. Après avoir personnellement étudié tous les aspects de la question, examiné sa propre situation de santé, recherché un avis médical et prié, les individus devraient ensuite, en consultation avec leur conseiller médical ou médecin, faire le meilleur choix possible.

L’Église adventiste du septième jour respecte le droit de chaque membre de prendre la meilleure décision possible pour sa santé à la lumière de ses convictions personnelles, de ses problèmes de santé et de ses conseils médicaux.

 

  1. L’Église adventiste du septième jour soutiendra-t-elle les droits de conscience de ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre la Covid-19 ?

Nous reconnaissons que certains de nos membres ont de sérieuses préoccupations concernant les vaccins contre la Covid-19 et sont prêts à perdre leur emploi, si c’est nécessaire, plutôt que de prendre le vaccin. Bien que l’Église adventiste du septième jour considère qu’il s’agit d’une question de santé publique, nous apporterons notre soutien à ceux de nos membres qui voient cela différemment.

Nous respectons leurs convictions consciencieuses et pouvons les soutenir :

1) En priant avec eux pour que Dieu trouve une solution au défi auquel ils sont confrontés,

2) En les aidant à écrire une lettre personnelle à leur employeur.

La réaffirmation de 2021 stipule : « Nous reconnaissons que, parfois nos membres auront des préoccupations personnelles et même des convictions de conscience qui vont au-delà des enseignements et des positions de l’Église adventiste du septième jour. Dans ces cas, les responsables de la liberté religieuse de l’Église feront ce qu’ils peuvent pour fournir un soutien et des conseils sur une base personnelle et non sur une base ecclésiale, parfois même en aidant les membres à rédiger leurs propres demandes d’adaptation personnelle aux employeurs et autres. »

 

  1. Le Comité administratif (ADCOM) de la Conférence générale des adventistes du septième jour a-t-il l’autorité de faire des déclarations au nom de l’Église ?

La Conférence générale (CG) en session se réunit tous les cinq ans et comprend une représentation mondiale. Elle délègue au Comité exécutif de la CG l’autorité pour agir en son nom entre les sessions de la Conférence générale pour le fonctionnement efficace et la facilitation de la mission de Dieu à travers son Église. Le Comité exécutif, à son tour, donne une autorité spécifique à ADCOM, y compris le partage de l’avocat général avec le champ mondial. Cette autorité déléguée comprend la publication de déclarations, de directives et de d’autres documents au nom de l’Église lorsque des problèmes surviennent et doivent être résolus. Depuis 1985, soit pendant près de quarante ans, la Conférence générale a publié plus de 75 déclarations officielles, directives et autres documents sur des questions d’intérêt public. Ces documents sont diffusés de trois manières :

1) par les officiants de la Conférence générale,

2) par le comité administratif de la Conférence générale (ADCOM),

3) par le comité exécutif de la Conférence générale.

 

La liste des déclarations, des directives et des autres documents de la Conférence générale montre qu’environ un tiers d’entre eux ont été publiés par ADCOM, qui a publié son premier document en 1994, et a ensuite publié de nombreux autres déclarations, directives et documents, couvrant un large éventail de sujets, tels que l’intégrité de la Bible, la protection de l’environnement et la sexualité humaine.

Ni les officiants de la Conférence Générale, ni ADCOM, n’ont l’autorité de modifier le Manuel de l’Église adventiste du septième jour ou les croyances fondamentales. Ce rôle est réservé à la Conférence générale en session. Les officiants de la Conférence générale et d’ADCOM peuvent recommander des changements au conseil annuel ou à la Conférence générale en session, et ils ont l’autorité de faire des déclarations au nom de l’Église, comme le prouvent près de quarante ans d’histoire et les responsabilités de direction qui leur sont déléguées. Réduire l’autorité d’ADCOM à des éléments mineurs revient à saper l’autorité de chaque administration au niveau de la fédération locale, de l’union et de la division. Saper la confiance dans la structure organisationnelle de l’Église est une affaire extrêmement sérieuse. Le commentaire d’Ellen White sur l’importance du travail organisé est significatif : « Je vous le dis, mes frères, le Seigneur a un corps organisé à travers lequel il travaillera… Quand quelqu’un s’écarte du corps organisé du peuple qui observe les commandements de Dieu, quand il commence à peser l’Église dans sa balance humaine et commence à prononcer un jugement contre elle, alors vous pouvez savoir que Dieu ne le conduit pas. Il fait fausse route » (Messages choisi, vol. 3, p. 17-18).

 

  1. Quels sont les domaines spécifiques de responsabilité et d’autorité de la session de la Conférence générale (CG), du Comité exécutif de la CG et du Comité administratif de la CG (ADCOM) ? ADCOM est-il habilité à fournir des conseils et des déclarations officielles à l’Église mondiale ?

L’Église adventiste du septième jour suit une forme de gouvernance ecclésiale représentative, qui trouve son origine dans les conseils bibliques et l’Esprit de prophétie, ainsi que dans l’expérience pratique du fonctionnement d’une famille de foi mondiale. L’Église mondiale, réunie en session, vote sur les changements à apporter aux croyances fondamentales, à la constitution et aux statuts de la Conférence générale, sur l’approbation de nouvelles unions et sur le Manuel de l’Église adventiste du septième jour, ainsi que sur d’autres questions. La session de la Conférence générale habilite ensuite, par ses statuts (article XIII), le comité exécutif de la CG à gérer les affaires de l’Église entre les sessions. Le comité exécutif de la CG autorise ensuite le comité administratif de la CG (ADCOM) à mener des activités conformément au mandat et à la composition votés par le comité exécutif de la CG.

 

Article XIII, section 1.b. des statuts de GC se lit comme suit :

ARTICLE XIII—COMITÉ EXÉCUTIF DE LA CONFÉRENCE GÉNÉRALE

  1. Le Comité exécutif de la Conférence générale aura également le pouvoir d’accorder ou de retirer des lettres de créance ou des licences, de nommer des comités, tels qu’un comité administratif, avec leur mandat, d’examiner, de modifier et de créer des politiques de travail, d’approuver des plans et des programmes stratégiques pour l’Église mondiale, d’employer le personnel qui peut être nécessaire à l’exécution efficace de son travail, et de prendre toutes les mesures nécessaires qui ne sont pas autrement réservées à la Conférence générale en session pour assurer le fonctionnement continu et efficace de l’Église mondiale afin qu’elle remplisse sa mission.

ADCOM traite de nombreux points à soumettre au Comité exécutif de la Conférence générale pour examen, mais par le biais de son mandat voté par le Comité exécutif, ADCOM est également habilitée à s’occuper des éléments qui fournissent des conseils généraux et des recommandations aux entités de l’Église mondiale. C’est ce que l’on trouve dans le mandat de l’ADCOM voté par le Comité exécutif de la Conférence générale, sous la rubrique « Questions administratives générales, n° 1, deuxième partie », qui indique que ADCOM a l’autorité de « donner des conseils généraux aux entités de l’Église mondiale qui le demandent » avec le pouvoir d’agir. Voir ci-dessous le libellé exact des termes de référence du comité administratif de la Conférence générale, voté par le comité exécutif de la Conférence générale :

  1. Questions administratives générales
  2. Considérez d’autres questions de routine, 1. Pouvoir d’agir.

Pour les problèmes administratifs au fur et à mesure qu’ils se présentent et fournir des conseils généraux aux entités de l’Eglise mondiale comme demandé.

 

Le GC ADCOM respecte totalement le Comité exécutif et adhère aux instructions et à l’autorité déléguée à l’ADCOM de la GC puisque c’est le comité qui a voté et autorisé son mandat.

Au sujet de fournir des « conseils » ou des déclarations officielles aux entités de l’Église mondiale, ADCOM fait très attention à ne pas dépasser l’autorité qui lui a été déléguée. Le comité exécutif de la Conférence générale vote les politiques, les directives et les déclarations générales de l’Église. Cependant, ADCOM peut fournir des « conseils » ou des déclarations qui entrent dans le cadre des « conseils généraux aux entités de l’Église mondiale, sur demande ». Au cours de plusieurs décennies, ADCOM a publié des déclarations sur divers sujets d’actualité dans la vie de l’Église. Ces déclarations ont été publiées après une large consultation et servent de conseil à l’Église mondiale pour aborder les questions d’actualité.

 

  1. La réaffirmation en 2021 de la position de l’Église adventiste du septième jour sur la vaccination a-t-elle été influencée par l’argent du gouvernement des États-Unis, y compris les paiements de Medicare et Medicaid aux hôpitaux adventistes, et les prêts et subventions aux institutions éducatives adventistes ?

Il n’y a absolument aucun lien entre les paiements Medicare et Medicaid versés aux institutions de santé adventistes et la réaffirmation en 2021 de la position de l’Église sur l’immunisation, ni sur toute dîme pouvant être reçue des personnes travaillant dans ces institutions de soins de santé ou d’enseignement. Les paiements de Medicare et Medicaid par le gouvernement aux institutions de soins de santé sont versés directement à ces institutions pour les services rendus aux patients, qui sont principalement des personnes âgées et économiquement défavorisées. Ces fonds gouvernementaux ne sont pas des dons aux hôpitaux. Ce sont des paiements pour des services rendus.

Aucun des professionnels de la santé ou autres employés du département des ministères de la santé de la Conférence générale ne reçoit de financement personnel ou de projet de la part de sociétés pharmaceutiques, d’établissements de soins de santé ou de sources gouvernementales fédérales ou étatiques.

Le financement public des établissements universitaires prend la forme de subventions et de prêts accordés aux étudiants afin qu’ils aient les moyens financiers d’obtenir un enseignement supérieur. Ces subventions et prêts gouvernementaux ne sont pas des dons aux écoles et n’ont aucune incidence sur le budget mondial de l’Église adventiste du septième jour, ni sur les décisions qu’elle prend.

 

  1. La Conférence générale ignore-t-elle le message de santé adventiste ?

Tout au long de la pandémie de la Covid-19, l’Église adventiste du septième jour a intentionnellement, pertinemment et mondialement promu le message de santé adventiste, en particulier le mode de vie sain et holistique, comme étant primordial pour rester en bonne santé et maintenir un système immunitaire fonctionnant de manière optimale. En même temps, l’Église a encouragé et soutenu les mesures de santé publique universelles de prévention des maladies telles que la distanciation sociale (physique), le port du masque le cas échéant, le lavage des mains, l’auto-quarantaine au besoin et la vaccination responsable. L’approche a été celle d’un mode de vie et de mesures de santé publique préventives, et non l’un ou l’autre.

 

  1. L’Église adventiste du septième jour considère-t-elle les obligations de santé préventive comme une question de liberté religieuse ? Si non, pourquoi pas ?

L’Église adventiste du septième jour a une longue histoire de défense de la liberté de conscience, en particulier dans les cas de conviction religieuse concernant l’observance du sabbat du septième jour, comme l’enseigne la Bible. De plus, l’Église reconnaît d’après la prophétie biblique qu’il y aura dans l’avenir un décret qui demandera à chaque personne sur terre de choisir entre recevoir le sceau de Dieu ou la marque de la bête (voir Apocalypse 14:9-10 ; voir aussi la question et réponse suivantes). Les protocoles actuels sur la Covid ne sont pas ce décret dont parle l’Apocalypse.

En plus de défendre la liberté de conscience, l’Église adventiste du septième jour soutient depuis longtemps une vaccination responsable. Nos missionnaires ont été vaccinés contre la variole, la typhoïde et la diphtérie pendant des décennies. Les adventistes du septième jour ont toujours soutenu la politique de santé publique et les vaccins, par conséquent, nous ne pensons pas qu’il s’agisse d’une question de liberté théologique ou religieuse pour l’Église. La déclaration officielle sur la vaccination a été publiée en avril 2015, bien avant que la Covid et la vaccination ne soient politisés. Le document mis à jour publié en 2021 suit notre pratique de longue date en tant qu’Église en soutenant la vaccination. Cependant, comme indiqué précédemment, il ne s’agit pas de nier que la vaccination contre la Covid pourrait être une question de conscience pour les membres individuels ayant des convictions personnelles, et donc une question de liberté religieuse pour eux, mais le document de réaffirmation de 2021 reconnaît le choix personnel et propose de fournir des conseils à ceux qui considèrent cela comme une question de liberté religieuse.

 

  1. Quelle est la position de l’Église adventiste du septième jour concernant les États-Unis dans la prophétie biblique ?

Depuis ses premiers jours, l’Église adventiste du septième jour a compris que la deuxième bête de l’Apocalypse, qui monte de la terre avec deux cornes comme un agneau, était les États-Unis dans la prophétie biblique. Sur la base du scénario prophétique, nous croyons que la bête de la mer (la papauté) et la bête de la terre (les États-Unis) s’uniront dans une confédération du mal pour forcer et restreindre la liberté de conscience, de sorte que personne ne pourra acheter ou vendre sans recevoir la marque de la bête (Apocalypse 13:13-17). La prophétie révèle que la question centrale de ce conflit final portera sur la loi de Dieu. Il y aura un contraste marqué entre ceux qui adorent le Créateur et ceux qui adorent la bête. Le sabbat sera au centre de cette bataille finale sur l’autorité de la loi de Dieu. La liberté religieuse sera restreinte. La liberté de conscience sera refusée. Ce temps n’est pas encore là, mais il arrive dans un avenir proche.

 

Appel pastoral

Jésus déclare : « C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez » (Matthieu 7:20). Quels sont les fruits de la critique actuelle de l’Église adventiste du septième jour ? Certains membres ont déjà approché leurs pasteurs, les informant qu’ils envisagent de quitter l’Église adventiste. Les présentations du doute ont polarisé des églises adventistes, et les ont largement détourné de la mission de l’Église. Ellen White nous met en garde : « Lorsque des hommes se lèvent, prétendant avoir un message de Dieu, mais au lieu de faire la guerre contre les principautés et les puissances, et les dirigeants des ténèbres de ce monde, ils forment un carré creux et retournent les armes de guerre contre l’Église militante. Faites attention à eux. Ils ne portent pas les lettres de créance divines. Dieu ne leur a pas confié un le fardeau d’une telle œuvre » (Testimonies to Ministers, p. 22). Dans le livre Messages choisis, volume 2, page 72, elle ajoute : « Il m’a été montré que nombre de ceux qui prétendent être spécialement instruits par Dieu, et tentent de diriger les autres à partir d’idées erronées de leur devoir, entreprennent un travail que Dieu ne leur a jamais confié. La confusion sera le résultat. Que chacun cherche Dieu le plus sérieusement possible pour lui-même afin de comprendre personnellement sa volonté. »

 

La conséquence de ces contestations infondées de l’autorité légitime de l’Église est la création d’un manque de confiance dans l’Église de Dieu des derniers jours. Cela sapera la légitimité et l’autorité de la Conférence générale, de chacune de ses divisions mondiales, des unions, des fédérations locales et même de l’église locale. L’impact potentiel est une érosion de la confiance qui pourrait amener des personnes à quitter l’Église, à organiser un mouvement de groupes indépendants ou à créer des mouvements dérivés qui affirmeraient que l’Église a apostasié. Le conseil divin du ciel est clair : « Nous ne pouvons pas maintenant quitter le fondement que Dieu a établi pour entrer dans aucune nouvelle organisation, car cela signifierait l’apostasie de la vérité » (Messages choisis, volome 2, p. 390 [1905]). L’objectif de Dieu est que nous respections les choix des uns et des autres, même si nous ne sommes pas toujours d’accord, et que nous nous soutenions mutuellement en tant que membres du corps du Christ. Engagés envers le Christ, soucieux les uns des autres, nous nous unissons pour répondre à la prière du Christ pour l’unité dans Jean 17, et nous nous concentrons ensemble sur sa mission de proclamer l’Évangile jusqu’aux extrémités de la terre.

Il y aura un moment dans l’avenir où le décret d’Apocalypse 13 sera pleinement en vigueur, où personne ne pourra acheter ou vendre. Puis, nous nous réunirons en petits groupes dans des endroits isolés, mais ce temps n’est pas encore arrivé. Dieu nous appelle à nous concentrer sur la proclamation de l’Évangile éternel à la lumière des messages des trois anges aux extrémités de la terre (voir Mathieu 24:14, Apocalypse 14:6).

La mission du peuple de Dieu de la fin des temps est de préparer cette planète pour le retour prochain de notre Sauveur. Les adventistes du septième jour se sont vus confier le dernier message d’avertissement à ce monde. « Ils ont reçu une tâche de la plus haute importance : la proclamation des messages du premier, du deuxième et du troisième ange. Il n’existe aucune autre œuvre d’une aussi grande importance. Ils ne doivent permettre à rien d’autre d’absorber leur attention » (Témoignages pour l’Église, vol. 9, p. 19).

Puissions-nous nous concentrer ensemble sur la proclamation du message des trois anges jusqu’aux extrémités de la terre, en préparation de la venue de Jésus. Que son amour, sa grâce et sa puissance remplissent nos vies afin que nous puissions recevoir la pluie de l’arrière-saison, pousser le grand cri et voir Jésus revenir sur les nuées ​​pour nous amener à la maison.

 

Traduit de : Adventist News – Concerns Regarding COVID-19, Church Governance, and Liberty of Conscience