Qu’est-ce que la Bible enseigne sur la signification de l’intendance
ou de la gestion chrétienne de la vie?
Les adventistes du septième jour sont des chrétiens qui croient fermement que l’amour de Dieu et des autres humains est le principe primordial de la foi. Pour exprimer cet amour de manière fondamentale, nous devons gérer les choses que Dieu nous confie. C’est ce que l’on appelle « l’intendance », si essentielle à la pensée adventiste que l’une de ses croyances fondamentales porte sur ce sujet. Nous nous pencherons aujourd’hui sur :
- Le sens et l’objectif de l’intendance ou de la gestion chrétienne
- L’intendance en tant que principe relationnel avec Dieu, notre Créateur.
- L’intendance en Éden
- Quels sont les types de choses dont nous sommes les intendants ?
- La dîme et l’offrande comme forme d’intendance
- Pourquoi l’intendance est importante aujourd’hui
La déclaration officielle de l’Église adventiste du septième jour est la suivante :
Aimer et donner par amour : le fondement de l’intendance
Lorsque Jésus était ici sur terre, quelqu’un lui a demandé quel était le commandement le plus important. Il a répondu :
“Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée, et ton prochain comme toi-même” (Luc 10:27, LSG).
L’amour pour Dieu et l’amour pour les autres – voilà ce qui devrait être la motivation fondamentale des chrétiens dans tout ce qu’ils font. Après tout, nous aimons Dieu à cause de ce qu’il a fait pour nous en Jésus (1 Jean 4:19).
Et lorsque nous répondons à l’amour de Dieu pour nous, nous sommes motivés pour voir combien – et non pas combien peu – nous pouvons faire pour Lui.
Lorsque nous comprenons ce qui nous a été donné en Christ, nous voulons répondre en le servant avec tout ce que nous avons. Nous voulons le servir avec nos talents, notre temps, notre argent, nos efforts, qui sont tous des dons de sa part.
Parce qu’il a fait preuve de l’acte d’amour le plus élevé qui soit pour nous lorsque Jésus est mort sur la croix, pour nous donner à tous une chance de rédemption et de réconciliation.
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » (Jean 3:16, 17, LSG).
« Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier. » (1 Jean 2:2, LSG).
Lorsque quelqu’un vous offre un cadeau sincère, il est naturel de le traiter avec le plus grand soin. Non seulement en raison de la valeur du cadeau, mais aussi parce que vous savez qui vous l’a offert et pourquoi.
C’est pourquoi nous démontrons notre amour pour Dieu et pour les autres par la façon dont nous gérons les choses qu’Il nous a confiées dans nos vies.
Ce type de gestion prudente et attentive est appelé « intendance » ou gestion chrétienne de la vie.
- Quelle est la signification et l’objectif de l’intendance ?
La signification du terme « intendance » est implicite en soi. Un intendant est une personne qui prend soin de quelque chose pour quelqu’un d’autre. Il n’est pas le propriétaire, mais le gardien, ou le gestionnaire, de ce qui lui a été confié par le véritable propriétaire.
Selon le dictionnaire Larousse, l’une des définitions d’un intendant est la suivante :
« Personne chargée d’administrer les affaires, le patrimoine d’une collectivité ou d’un particulier ». Être nommé intendant est une position honorable qui implique beaucoup de responsabilités. Vous ne donneriez pas ce poste à quelqu’un en qui vous n’avez pas confiance.
Dieu veut que nous prenions le même niveau de responsabilité avec nos vies. C’est essentiel pour notre croissance et notre maturité, et c’est un élément clé de notre relation avec Dieu. Il nous conduit et nous guide, tout en nous donnant le privilège d’être responsables de nous-mêmes et des choses de notre vie.
- Comment notre intendance se rapporte-t-elle à Dieu ?
Dans le cas de l’intendance biblique, le véritable propriétaire est Dieu, le Créateur de toutes choses.
“A l’Éternel la terre et ce qu’elle renferme, Le monde et ceux qui l’habitent ! ” (Psaume 24:1, LSG).
« Car tous les animaux des forêts sont à moi, Toutes les bêtes des montagnes par milliers; Je connais tous les oiseaux des montagnes, Et tout ce qui se meut dans les champs m’appartient…, Car le monde est à moi et tout ce qu’il renferme. » (Psaume 50:10-12 LSG).
Il est fondamental de comprendre que tout ce que nous possédons est en fin de compte un don de Dieu. Après tout, nous ne nous sommes pas créés tout seuls. Les talents avec lesquels nous sommes nés nous viennent du Saint-Esprit. Nous n’avons pas créé la terre, le sol, les minéraux dans la terre, l’air, les plantes, les arbres, quoi que ce soit.
Quelle que soit la manière par laquelle nous gagnons notre vie, que ce soit avec nos mains, notre dos, notre cerveau – ou les choses que nous pouvons acheter avec l’argent que nous gagnons – tout vient en fin de compte de Dieu.
C’est pourquoi la Bible dit qu’il est celui en qui « nous avons la vie, le mouvement et l’être » (Actes 17 :28)
Et quels que soient les talents intellectuels ou physiques que nous pouvons avoir, ceux-ci aussi viennent de Dieu.
« Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jacques 1:17, LSG).
Lorsque Dieu a amené les Israélites dans la terre promise, il leur a promis de les bénir en leur accordant d’abondantes richesses. Ils allaient posséder de grands troupeaux de bétail, nourrir leurs familles et avoir des récoltes abondantes.
Mais Il les a ensuite mis en garde contre la pensée que “Ma force et la puissance de ma main m’ont acquis ces richesses.” (Deutéronome 8:17, LSG).
Au lieu de cela, ils devaient toujours “se souvenir de l’Éternel, ton Dieu, car c’est lui qui te donnera de la force pour les acquérir” (Deutéronome 8:18, LSG).
C’est un principe que nous ne devrions jamais oublier, surtout ceux qui ont été bénis par des richesses matérielles.
L’intendance en Éden : premiers principes
L’idée de l’intendance est perceptible dès la première semaine de la création.
Pour commencer, nous découvrons Dieu en tant que Créateur de la terre et de tout ce qu’elle contient (Genèse 1-2).
Les êtres humains font partie de la création. Ils sont uniques en ce qu’ils sont les seuls à avoir été créés à « l’image de Dieu » (Genèse 1:27, LSG). Même ainsi, ils sont toujours des êtres créés qui dépendent entièrement de Dieu pour leur existence.
Toutefois, le fait d’avoir été créés à l’image de Dieu leur confère un statut et une responsabilité particuliers par rapport au reste de la création. Deux versets du récit de la création donnent un aperçu de cette responsabilité.
- Premièrement, dans le même verset qui parle de la création des humains, le Seigneur a également exprimé ce que serait leur rôle.
« Puis Dieu dit: Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. » (Genèse 1:26 ; voir aussi Genèse 1:28, LSG.
Il est fascinant de constater que la première chose que Dieu dit à propos des humains est leur responsabilité envers le reste de sa création ! Ils ont la « domination » pour régner, être responsables du monde dans lequel ils sont placés.
- Deuxièmement, Dieu a spécifiquement placé Adam et Eve dans une maison-jardin appelée le jardin d’Éden.
« L’Éternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder. » (Genèse 2:15, voir aussi Genèse 2:8, LSG).
Le verbe hébreu « garder » vient d’une racine qui peut aussi signifier « surveiller », « avoir soin », « protéger ». Nous pouvons donc voir ici un sens de la responsabilité qui leur a été donné pour la création dans laquelle ils évoluaient.
Bien sûr, tout cela s’est passé avant l’entrée du péché dans le monde. Mais le principe demeure. En fait, il est peut-être encore plus important de s’en souvenir maintenant, après les dégâts du péché.
Comme l’a dit le Psalmiste, « Tu lui as donné la domination sur les œuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds » (Psaume 8:6, LSG).
En tant qu’intendants, nous prenons soin de la création, non seulement parce que c’est notre maison, mais aussi parce que nous aimons Dieu. Notre Dieu qui nous a confié ce monde.
- Comment exerçons-nous l’intendance ? De quoi sommes-nous les intendants dans la vie d’aujourd’hui ?
Nous pouvons entrer dans les détails, mais la réponse est vaste. Tout ce que nous contrôlons ou dont nous sommes responsables dans notre vie, ce sont les choses sur lesquelles on nous demande d’être des « intendants ». Voici quelques exemples :
- L’environnement, ou la façon dont nous traitons le monde qui nous entoure avec les choix qui nous sont offerts.
Faisons-nous notre part pour garder notre environnement en bon état ? Faisons-nous l’effort de penser à la situation dans son ensemble ? Utilisons-nous les outils ou les opportunités à notre disposition qui peuvent aider la terre dans son ensemble ?
D’après ce que nous avons vu en Eden, une partie de l’intendance humaine consistait à prendre soin de la planète (Genèse 2:15, voir aussi Genèse 2:8).
Ainsi, dès le départ, les humains devaient être des intendants de la terre. C’est une chose que les adventistes prennent au sérieux. Pour cette raison, en 1995, l’Église adventiste du septième jour a voté cette déclaration :
« La crise écologique est enracinée dans la cupidité de l’humanité et son refus de pratiquer une bonne et fidèle intendance dans les limites divines de la création… . Les adventistes du septième jour prônent un mode de vie simple et sain, où les gens ne s’engagent pas dans la course effrénée à la consommation, à l’acquisition de biens et à la production de déchets. Nous appelons au respect de la création, à la retenue dans l’utilisation des ressources du monde, à la réévaluation de ses besoins et à la réaffirmation de la dignité de la vie créée. »
Prendre soin de notre maison terrestre est un élément central de l’intendance fidèle.
- Notre santé et notre corps sont également des dons de Dieu – d’abord par la création, puis par la rédemption.
« Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. » (1 Corinthiens 6:19, 20, LSG).
C’est pourquoi les adventistes du septième jour sont très attachés à l’enseignement de la santé et des principes de santé à leurs membres. L’Église adventiste préconise depuis longtemps un mode de vie sain. Les enseignements reposent sur l’idée que nos vies et nos corps sont des dons de Dieu pour lesquels nous sommes responsables devant lui de la manière dont nous les traitons.
· Nos talents, compétences et capacités
Dans de nombreux cas, nous pouvons avoir des dons spirituels spéciaux donnés par le Saint-Esprit pour être utilisés dans la proclamation de l’Évangile et la prise en charge de l’humanité.
Si nous sommes naturellement doués dans un domaine, cela peut être un honneur pour Dieu de développer cette compétence et de l’utiliser pour le bien. La Bible met même en garde contre le fait de ne rien faire pour cultiver les dons qui nous sont donnés (Matthieu 25:14-30).
· Nos familles, ainsi que nos amis et notre communauté
Traitons-nous ceux que nous rencontrons chaque jour avec amour et respect, en nous rappelant qu’ils sont aussi des enfants bien-aimés de Dieu ? Remplissons-nous volontiers et joyeusement les rôles que nous occupons ?
· Nos biens
Prenons-nous soin des choses que nous possédons ? Sommes-nous reconnaissants pour ce que nous avons, au lieu de nous concentrer sur ce que nous n’avons pas ?
Vous ne trouverez pas dans la Bible des textes qui recommandent de thésauriser ce que nous avons ou de se concentrer excessivement sur l’accumulation de richesses. Pour être un bon gestionnaire de nos biens, il faut savoir que nous devrons peut-être aussi partager avec ceux qui sont dans le besoin autour de nous, surtout si Dieu est le véritable propriétaire au départ.
· Les autres et leurs biens
Veillons-nous à ce que nos actions n’aient pas d’effets négatifs sur d’autres personnes ou sur les choses dont ils sont les gardiens ? Traitons-nous les autres comme des enfants bien-aimés de Dieu, même si nous ne les connaissons pas ? Traitons-nous les choses qui ne nous appartiennent pas avec le même soin que si elles nous appartenaient ?
· Notre temps
Tirons-nous le meilleur parti des opportunités qui nous sont offertes ? Traitons-nous chaque jour comme s’il s’agissait d’un cadeau ? La science nous apprend que le temps est intimement lié au tissu de l’espace lui-même, qui est la création de Dieu. Puisque la vie est un cadeau, le temps l’est aussi. À maintes reprises dans la Bible, il nous est recommandé de réfléchir et de faire attention à ce que nous faisons du peu de temps qui nous est imparti (Psaume 90:12 ; Ecclésiaste 9:10 ; Ephésiens 5:16 ; Romains 3:11).
· Toute autre chose qui nous a été donnée par Dieu.
Tout ce qui nous est confié, de manière permanente ou temporaire, est une occasion de faire preuve d’une gestion digne de Dieu.
- La dîme et les offrandes comme forme d’intendance
S’appuyant sur le principe biblique selon lequel Dieu est le véritable propriétaire de tout et le donateur de tout ce que nous possédons, les adventistes estiment que la pratique consistant à verser la dîme et à présenter des offrandes constitue une part importante de la gestion des ressources.
Le mot dîme signifie simplement un « dixième ». Nous la trouvons pour la première fois dans la Bible lorsque Abraham paya la dîme à Melchisédek, “prêtre du Dieu Très-Haut” ( Genèse 14:20 ; Hébreux 7:1,6, LSG).
Ceci est important car cela montre que l’idée de payer un dixième de ce que l’on a gagné existait avant la naissance de la nation d’Israël. Et souvenez-vous que les Israélites avaient un système très élaboré de dîmes et d’offrandes.
Jacob, le petit-fils d’Abraham, a également rendu la dîme à Dieu. Il a dit à Dieu : « je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras » (Genèse 28:22, LSG). Ici, l’idée de la dîme est exprimée avec force : tout ce que Jacob a obtenu en termes de richesses amassées ne vient que de Dieu. Encore une fois, il s’agit d’un exemple de dîme bien avant la création de la nation d’Israël. Elle était antérieure à la nation juive.
À l’époque de la nation israélite, les dîmes et les offrandes constituaient un élément central de leur culte. Ils reconnaissaient ainsi Dieu comme leur Créateur, celui qui leur avait donné « la force de produire des richesses » (Deutéronome 8:18, LSG).
Dans la plupart des cas, la dîme était donnée en paiement aux prêtres et aux lévites, qui ne recevaient pas de terres en héritage comme les autres tribus (Lévitique 18:23 ; Deutéronome 12:12). L’Église adventiste du septième jour suit également cette pratique consistant à utiliser l’argent de la dîme exclusivement pour le ministère.
Le Nouveau Testament est également rempli de principes et d’exemples d’intendance (Actes 2:44,45 ; Actes 11:29 ; 2 Corinthiens 9 : 6,7, 11-13 ; 1 Timothée 5:8). Jésus lui-même a raconté de nombreuses paraboles ayant pour thème l’intendance (Matthieu 25, 14-30 ; Matthieu 25, 31-46 ; Luc 19, 12-27). Comme l’a écrit le leader adventiste Charles Bradford :
« L’église du temps des apôtres présentait une démonstration dynamique de l’intendance chrétienne. Les membres de la communauté comprenaient ce que cela signifiait d’être des intendants, aussi bien individuellement qu’en tant que collectivité. Ils ont bien modélisé le principe de l’intendance chrétienne par leur attitude et leur pratique. » (Charles Bradford, Handbook of Seventh-day Adventist Theology, Review and Herald, [2000] p. 659)
- Pourquoi l’intendance est importante ?
A. La Bible l’enseigne : Tout au long de la Bible, Dieu nous a enseigné l’intendance.
Depuis la création de l’humanité dans la Genèse chapitre 1, jusqu’aux paraboles de Jésus dans le Nouveau Testament (Matthieu 25, 31-46 ; Luc 19, 12-27), les croyants ont appris qu’il leur incombait de prendre soin du monde qui les entoure.
B. En raison de la nature déchue de l’humanité, notre tendance naturelle est à la cupidité et à l’égoïsme.
Reconnaître que Dieu possède tout peut contribuer à nous protéger de nous-mêmes, ainsi que de la cupidité et de l’égoïsme inhérents en chacun de nous.
C. Aider ceux qui ont moins de chance que nous est un thème récurrent dans la Bible comme moyen de bénir les autres (Lévitique 19:9-10, 15 ; Proverbes 14:21 ; 29:7 ; Matthieu 25:40 ; 1 Jean 3:17, 18).
Ici, une intendance fidèle peut faire toute la différence. En particulier avec l’offrande volontaire – des dons de n’importe quel montant donnés par gratitude envers Dieu. Comme l’a écrit Angel Rodriguez :
« Nous pourrions dire que ce qui motive les chrétiens à faire des offrandes est leur amour pour Dieu, un amour désintéressé dont le centre d’attention est Dieu et les autres êtres humains. Donner ne doit pas être une tentative d’obtenir ou de gagner la sympathie, l’amour ou la reconnaissance de Dieu. Ce n’est que par l’offrande sacrificielle du Christ que nous sommes acceptés par Dieu. Notre don est précédé par la grâce salvatrice de Dieu et devrait toujours être une réponse de gratitude. » (Angel Rodriguez, Stewardship Roots: Toward a Theology of Stewardship, Tithe and Offerings, Department of Church Ministries Publications, General Conference of Seventh-day Adventists—STW 1050, [1994] p.76. )
Nous avons tous reçu des dons de Dieu, et nous devrions les utiliser comme une expression de notre amour pour Dieu et pour les autres.
Mais le meilleur résumé des principes de l’intendance ou de la gestion chrétienne telle que la Bible l’enseigne se trouve peut-être dans ces mots de Jésus : « Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Matthieu 10:8, LSG).
Extrait de AskAnAdventistFriend.com
Traduction : Jean Milard
Directeur de la Gestion chrétienne de la vie